Hypothermie d'Arnaldur Indridason

Depuis la femme en vert, je ne loupe plus un seul Indridason. J'attend juste qu'ils sortent en poche. Pourtant "Hiver Arctique" ne m'avait pas vraiment emballée. Trop lent, trop long. 


Et là,  Catherine  me passe Hypothermie et enfin je retrouve l'Arnaldur que j'aime, celui de "L'Homme du Lac" ou de "La Voix" .


Maria est retrouvée pendue dans son chalet au bord du lac par son amie Karen mais celle-ci a du mal à croire au suicide. Elle dispose de l'enregistrement d'une séance chez un médium que Maria est allée consulter pour entrer en contact avec sa mère décédée 2 ans auparavant. Il n'en faut pas plus pour attiser la curiosité obsessionnelle du commissaire dépressif Erlendur Sweinsson.


Ci-dessous la présentation du livre. En cliquant sur le titre de l'article vous pourrez lire une interview de l'auteur lors d'un passage à Lyon en 2008.



Commentaires

  1. cath.woman8 novembre 2010 à 14:55

    Le dernier Arnaldur est un grand cru!
    góðar fréttir
    (bonne nouvelle)
    Bises.

    RépondreSupprimer
  2. eyna698 novembre 2010 à 19:11

    Waaouh, je ne te savais pas si férue d'islandais! Est-ce grâce à Björk?
    Eric le lit et je te le rend de suite dussé-je aller jusqu'à Grenoble ;-) à pied...

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Hommage à Mychèle ABRAHAM

Image
Il n'y a pas longtemps, j'ai repensé à Michèle Abraham en écoutant une reprise de London Calling des Clash par Bruce Springsteen. En quelque sorte, c'est elle qui m'a fait découvrir la musique. Elle animait une émission de rock sur Europe1 fin des années 70 - début des années 80. A l'époque dans le noir j'écoutais Chlorophylle, l'émission de Mimi qui débutait vers 22 heures sur les notes Rockestra des Wings. Elle nous parlait de sa passion pour le Boss et nous a fait aussi découvrir Jackson Browne et Pat Benatar mais encore Al Stewart , Ellen Foley ou Jean-Patrick Qui s'en souvient encore?...Janot, es-tu là? Bien sûr il y a eu aussi Bernard Lenoir, Philippe Manoeuvre et Antoine de Caunes. Mais Michele, elle était unique. Merci Mimi....
Lire la suite

Plongée dans l'univers familial de Delphine De Vigan...

Image
.... avec "Rien de s'oppose à la nuit". Roman dans lequel l'auteure part à la recherche de sa mère qui en 2008, rattrapée par ses troubles maniaco-dépressif, met fin à ses jours. "Rien ne s'oppose à la nuit" en référence au titre de Bashung "Osez Joséphine", nous montre comment le destin tragique de Lucile Poirier, la très belle jeune fille d'une famille extra-ordinaire influencera ses 2 filles. Une écriture subtile, sensible, bouleversante, un très très beau livre à lire et à conseiller sans plus tarder... Gérard Collard, libraire de la "Griffe Noire" nous en parle avec humour... Une livre de "filles"???... Pas sûre!!!
Lire la suite