Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie
Pierre m'ayant prêté le monstrueux bouquin "Les 1001 albums qu'il faut avoir écoutés dans sa vie", je me suis plongée dans une lecture très peu orthodoxe de la bête au gré de mes envies....
Du coup, aujourd'hui j'ai ressorti mes vieux CD, voire mes vieilles K7 pour réécouter quelques morceaux choisis que je voudrais vous faire partager si vous le désirez évidemment...
Page 715, un article sur Polly Jean Harvey et l'album "Rid Of Me" sorti en 1993 avec la chanson-titre et je vous lis le passage sur ce titre : "La férocité de la voix de Harvey est redoublée par un jeu de guitare à glacer le sang, toujours à la limite du chaos sans jamais perdre contrôle..." Sacrée artiste que cette P.J. à qui Jean-Louis Murat a dédié une de ses chansons.
Page 819 à gauche la photo de Richard Ashcroft chanteur de The Verve et à droite critique de l'album "Urban Hymns" (1997) sur laquelle figure le titre "The Drugs don't Work" ode poignante au père décédé du chanteur.
Ou encore page 294, le sublime album de Genesis "Selling England By The Pound" (1973) avec au commande le génial Peter Gabriel notamment sur l'interprétation de "Dancing With The moonlit Knight"
Enfin petite incursion dans les années 80 avec page 560, The Smiths, groupe mythique de l'époque, et la rencontre de son charismatique chanteur Steven Morrissey avec le guitariste Johnny Marr qui nous proposent en 1986 l'album "The Queen is Dead" dont le morceau titre est une attaque sauvage et subtile contre la famille royale. Tout de suite la très émouvante chanson "Il y a une Lumière qui ne s'éteint jamais"...
A suivre... je vais de ce pas retrouver ma lecture interrompue.
Du coup, aujourd'hui j'ai ressorti mes vieux CD, voire mes vieilles K7 pour réécouter quelques morceaux choisis que je voudrais vous faire partager si vous le désirez évidemment...
Page 715, un article sur Polly Jean Harvey et l'album "Rid Of Me" sorti en 1993 avec la chanson-titre et je vous lis le passage sur ce titre : "La férocité de la voix de Harvey est redoublée par un jeu de guitare à glacer le sang, toujours à la limite du chaos sans jamais perdre contrôle..." Sacrée artiste que cette P.J. à qui Jean-Louis Murat a dédié une de ses chansons.
Page 819 à gauche la photo de Richard Ashcroft chanteur de The Verve et à droite critique de l'album "Urban Hymns" (1997) sur laquelle figure le titre "The Drugs don't Work" ode poignante au père décédé du chanteur.
Ou encore page 294, le sublime album de Genesis "Selling England By The Pound" (1973) avec au commande le génial Peter Gabriel notamment sur l'interprétation de "Dancing With The moonlit Knight"
Enfin petite incursion dans les années 80 avec page 560, The Smiths, groupe mythique de l'époque, et la rencontre de son charismatique chanteur Steven Morrissey avec le guitariste Johnny Marr qui nous proposent en 1986 l'album "The Queen is Dead" dont le morceau titre est une attaque sauvage et subtile contre la famille royale. Tout de suite la très émouvante chanson "Il y a une Lumière qui ne s'éteint jamais"...
A suivre... je vais de ce pas retrouver ma lecture interrompue.
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